José Bové, Marie-Georges Buffet, Dominique Voynet, Olivier Besançenot et Arlette Laguiller, voici les candidats déclarés à la gauche du Parti Socialiste pour l’élection présidentielle. Ils sont 5. La gauche de la gauche a échoué dans son rassemblement avec les collectifs antilibéraux. Ces gens là sont censés représenter ceux qui souffrent des inégalités produites par le système capitaliste, les défendre et améliorer leur sort.
Mais ils n’ont rien compris. Chacun se présente, chacun veut sa tête sur une affiche, ils se moquent du sort des victimes de notre société inégalitaire. Ils ne se soucient que de leurs petits intérêts. S’ils avaient ne serait-ce qu’un soupçon de conscience, ils ne se seraient pas présentés tous. Ils renforcent les chances de victoire de leurs ennemis : la droite et l’extrême droite.
Pour certains ils passent leur temps à taper sur le Parti Socialiste. Ce dernier a réussi à ramener dans son giron les Radicaux et le MRC, obtenant un semblant de rassemblement.
La gauche aborde cette élection éparpillée, alors qu’elle aurait dû organiser des primaires à l’italienne, afin de se donner un maximum de chance pour remporter l’élection, car il y a urgence et elle ne peut se permettre cette division.
Quelqu’un a dit : "La grande leçon de l'histoire est que l'homme ne tire presque jamais de leçons de l'histoire."
Cette citation s’applique admirablement à la gauche française actuelle.
Mais ils n’ont rien compris. Chacun se présente, chacun veut sa tête sur une affiche, ils se moquent du sort des victimes de notre société inégalitaire. Ils ne se soucient que de leurs petits intérêts. S’ils avaient ne serait-ce qu’un soupçon de conscience, ils ne se seraient pas présentés tous. Ils renforcent les chances de victoire de leurs ennemis : la droite et l’extrême droite.
Pour certains ils passent leur temps à taper sur le Parti Socialiste. Ce dernier a réussi à ramener dans son giron les Radicaux et le MRC, obtenant un semblant de rassemblement.
La gauche aborde cette élection éparpillée, alors qu’elle aurait dû organiser des primaires à l’italienne, afin de se donner un maximum de chance pour remporter l’élection, car il y a urgence et elle ne peut se permettre cette division.
Quelqu’un a dit : "La grande leçon de l'histoire est que l'homme ne tire presque jamais de leçons de l'histoire."
Cette citation s’applique admirablement à la gauche française actuelle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire